Au troisième trimestre, j'ai enchaîné les missions d'automatisation pour des boîtes de toutes tailles. Et y'a un sujet qui m'a surpris.
Pour vous situer, j'ai accompagné :
- Deux SaaS (une dans l'Adtech et une dans l'IA)
- Un incubateur de startups
- Une agence de copywriting
Chacune avec ses spécificités, mais bizarrement, dans chacune d'entre elles j'ai eu des discussions similaires :
Le bien-être des employés... ça devient un vrai sujet quand on parle d'automatisation.
Ça vous étonne ?
Bon, c'est pas encore LA raison numéro 1 pour automatiser. Mais j'ai quand même eu pas mal de discussions là-dessus. Surtout avec les employés qui vont alléger leurs journées.
L'automatisation et l'IA ne sont plus vues comme une menace, mais comme un moyen de prendre plus le temps pour les sujets à valeur ajoutée.
Fini les tâches répétitives et sans intérêt, place à des missions plus cool. Résultat ? Plus de créativité, moins de stress.
Mais attention, l'équilibre est fragile.
J'ai quand même encore entendu des choses comme "moi j'ai pas besoin d'un robot pour me remplacer" pendant une table ronde avec des équipes RH.
La clé que j'ai identifiée : impliquer les équipes dès le début. Faire de l'automatisation un projet collectif, pas un autre outil imposé d'en haut.
Vous aussi, vous percevez ce lien entre automatisation et épanouissement ? Vos retours m'intéressent !