Je vois passer une vague de posts “Spend the summer in SF 🇺🇸”.
Des jeunes fondateurs français à San Francisco, en plein mois de juillet.
Pas des vacances, ça passe en note de frais !
Ils observent comment les boîtes pitchent, vendent et signent.
Et surtout : comment elles pensent leur go-to-market dès le jour 1.
Cette année, j’ai bossé avec une douzaine de startups qui se lançaient aux US.
Et tu sais quoi ? Les meilleures ne sont pas forcément les plus grosses.
Ce sont celles qui :
→ virent les use cases franco-français qui ne disent rien à un décideur US
→ arrêtent les phrases type “on accompagne” ou “on est la solution la plus complète”
→ bossent leur pitch sans storytelling inutile, juste avec un problème clair et un ROI en face
→ recrutent un sales natif ou au moins un advisor qui les challenge dès la première phrase
→ acceptent qu’aux US, le temps d’attention c’est 20 secondes, pas 3 slides de contexte
Parce que t’as beau avoir le bon produit,
si tu parles pas le bon langage, tu fais zéro traction.
Et entre nous : un mois à SF à écouter comment ça vend
vaut souvent plus qu’un mastermind growth à 10k.
Le marché US te pardonne pas les erreurs de débutant.
Encore moins les réflexes français.
👇Experte en communication interpersonnelle et prise de parole en public ➤ Transformez vos interactions et devenez un leader inspirant + confiance en vous + fluidité dans vos échanges + impact dans vos prises de parole
1 month ago
Le marché US oblige à aller droit au but, sans blabla. C’est un vrai entraînement à l’efficacité. Observer, écouter, ajuster en temps réel : ça vaut toutes les masterclass du monde. Merci pour ce partage sans filtre !😊