Tu m’appelles pour lancer l’outbound ? Très bien. Mission annoncée : “Former les sales au cold mail et aux DM LinkedIn.” Mais dès le kickoff, on tombe de haut : - Les sales attendent que “le marketing envoie les leads” - Personne n’a jamais écrit une séquence de prospection - Aucune liste de comptes ciblés, encore moins de signaux - Zéro cadre de test, de feedback ou d’itération - Et impossible de dire combien de messages sont partis la semaine dernière Résultat : tu formes des gens qui ne se sentent pas responsables. Et l’outbound meurt en deux semaines. Voilà ce qu’on pose pour éviter ça : 1. Repartir du TAM   Pas une base mail achetée. Pas une extraction Sales Nav au hasard.   Un vrai travail en amont : quels comptes on vise, pourquoi eux et à quel moment on les contacte 2. Redéfinir le rôle des sales   Un sales qui ne prospecte pas reste dépendant du marketing La prospection est une mission à part entière, cadrée, suivie et assumée 3. Construire un système simple mais clair   Des messages courts. Un objectif par message. Des hypothèses à tester.   Pas 12 étapes inutiles. Une base solide et flexible. 4. Instaurer un rythme lisible   Un créneau de prospection dans l’agenda.   Et une boucle hebdo sur ce qui a été tenté, ce qui a marché, ce qui doit changer 5. Capitaliser sur ce qui marche, documenter ce qui rate   On prend notes, on partage et on rejoue Un doc vivant, utilisé et mis à jour chaque semaine L’outbound ne tient pas sur un bon script ou une bonne intention.   Il tient sur un système clair, itératif, bien exécuté. Et ce système commence par une question : est-ce qu’on sait précisément à qui on veut parler ?