Tu veux lancer une campagne outbound ?
Alors tu ouvres Sales Nav, tu cibles un persona, tu exportes.
Mauvais réflexe.
80 % des boîtes B2B que je rencontre font la même chose :
Elles recréent un mini-TAM à chaque campagne.
Persona → outil → export → enrichissement → action.
Puis… on jette.
Et on recommence 3 semaines plus tard.
Ce que je recommande :
Un TAM centralisé, vivant et connecté à tes actions sales & marketing.
Pas un fichier qu’on oublie. Un vrai actif.
J’ai bossé récemment avec une boîte qui cible les labos pharma aux US.
Une campagne outbound par mois.
À chaque fois : nouveau ciblage, nouvel export, nouveau scoring.
Des dizaines d’heures gaspillées.
Et une base client de moins en moins exploitable.
Voilà ce qu’on a mis en place :
1 - Un TAM structuré par signaux et use cases
On a cartographié leur marché cible une fois pour toutes :
- Industries
- Taille
- Postes clés
- Signaux business (levée, recrutement, changement d’outil…)
🎯 Résultat : une base claire, partagée, prête à l’action.
2 - Une base centralisée et mise à jour en continu
Fini les listes Notion ou SalesNav.
On a tout regroupé dans Airtable, relié au CRM, avec mises à jour auto :
→ Nouveau poste ? Contact à jour
→ Levée ? Tâche créée
→ Compte stratégique détecté ? Ajout au nurturing
📌 Le TAM devient un radar, pas un tableau.
3 - Des actions déclenchées au bon moment
On ne cible plus à l’intuition. On agit selon les signaux.
Exemples :
COO qui change de job → séquence relance
Recrutement d’un Head of Growth → message adapté
Levée sur un lead refroidi → requalification auto
En résumé :
Le problème, ce n’est pas l’absence de TAM.
C’est qu’on le recrée à chaque fois, au lieu de s’en servir.
👉 Si tu veux industrialiser ton outbound ou ton ABM,
commence par un TAM propre. Et fais-le vivre.